Retour

  10 minutes 18 secondes

 

Vidéo - Entrepreneuriat

« Le freelancing n’est plus un sujet à la marge, c’est un choix de carrière »

Laura Streleski, co-fondatrice de La Collab, s'exprime face caméra.

Expertise

L'impact des révolutions technologiques, économiques et sociétales sur les entreprises et l'avenir du travail. Interview.

C’est aujourd’hui un phénomène massif : la France compte 1,2 million de freelances, contre 900 000 en 2019. Malgré un contexte économique fragile pour les indépendants, les projections estiment que la France pourrait compter 1,5 million de freelances à l’horizon 2030.

Pourtant, si le freelancing attire de plus en plus de profils qualifiés en quête de flexibilité, d’autonomie et de meilleure rémunération, le droit du travail encadre encore très peu les relations entre indépendants et entreprises clientes. 

C’est dans ce contexte que « l’entreprise étendue » prend de l’ampleur : les frontières des organisations s’élargissent pour intégrer des talents externes et travailler en « mode projet ». Une richesse pour les entreprises, et pour leurs salariés. Selon une étude menée par freelance.com avec l’Ifop en 2024, « les salariés traditionnels côtoient désormais au quotidien des travailleurs indépendants, en présentiel et/ou en distanciel. L’image de l’indépendant évolue positivement et se renforce auprès des cadres ». Quant aux freelances qui travaillent pour diverses missions et clients, ils font de ce « butinage » une force : ils ont davantage de réseau et d’idées, et sont formés aux nouvelles compétences attendues par les entreprises.

Alors, quels métiers sont concernés ? Pourquoi choisit-on de devenir freelance ? Qui protège les indépendants face au risque d’isolement ou de burn-out ? Pour décrypter l’ère du « freelancing », Laura Streleski, co-fondatrice de La Collab.

 

Journaliste : Sophie Arutunian  

Cadrage et montage : Anthony Duhamel  

Notre actu dans votre inbox

Restez informés de toute l’actu
& inspirez-vous au quotidien